Nombre total de pages vues

lundi 8 décembre 2014

Mada (5): Daddy, un guide très chaleureusement recommandé

La dream team à la fin du voyage! Un Allemand, une Française et deux Espagnols très, très satisfaits du voyage organisé par Daddy, à droite sur la photo. C'est un guide expérimenté, à l'écoute, astucieux (la façon dont il organise les pirogues est exemplaire: on a TOUT à bord, le maximum de confort pour le minimum de place), bon cuisinier et très sympathique.
Si vous envisagez une expédition sur la Tsiribihina ou ailleurs, n'hésitez pas à le contacter, vous ne le regretterez pas.

Daddy: da_cool74[at]yahoo.fr

 (remplacez comme il se doit [at] par @)



samedi 6 décembre 2014

Mada (5): Morondava

La plage de Morondava est très belle, mais attention où vous mettez les pieds, il s'agit des toilettes d'une bonne partie de la population!



 Les pirogues peintes et autres boutres:




 Morondava Beach Hotel:



 Véhicules locaux:


 L'incontournable fou local:


  Ambiance tropico-coloniale:





jeudi 27 novembre 2014

Mada (5): l'allée des baobabs, Morondava

Passage de bac assez aventureux (il n'y avait pas assez d'eau, on avançait très lentement et les employés devaient parfois descendre dans l'eau pour pousser et tirer le bac):



 On descend vers Morondava, et le paysage se peuple de baobabs plus ou moins sacrés, plus ou moins célèbres, plus ou moins amoureux:






 Puis on arrive dans la carte postale: l'Allée des Baobabs, où se concentrent 90% des touristes japonais de l'île. Sans blague. Ils viennent voir JUSTE ça, certains, et paient de petites fortunes pour le faire (en 4x4 climatisés et couverts de leur masques de chirurgien)!
Enfin, Japonais ou pas, c'est très chouette même si c'est très couru!





 Dès que le soleil est couché, les 4x4 reprennent la route vers Morondava, où nous attendent hôtels, restos et vrais lits. Le luxe après la rivière et le camping des Tsingys!



jeudi 20 novembre 2014

Mada (5): le Tsingy de Bemaraha

Les tsingys, c'est une sorte de chaos pierreux, piquant, coupant, tour à tour étroit et escarpé. C'est aussi des beaux paysages, et des tas de bestioles en tout genre!

Il vaut mieux ne pas être trop grand ni trop gros, déjà:




Il vaut mieux ne pas être sujet au vertige:




Mais sur le toit des tsingys, on oublie toutes les difficultés (bon j'essaie de nous faire plaindre, mais en fait ce n'est pas difficile du tout quand on est de taille et circonférence moyennes et qu'on n'a pas le vertige)...



Les lémuriens sifaka, les makis (enfin, ceux qu'on appelle makis à Mayotte, les lémuriens bruns, donc), et un lémurien nocturne dans son tronc d'arbre: 


Un rat endémique du tsingy, des oiseaux:


Après l'effort, une bonne bière suivie de camarons géants pêchés le matin même dans la rivière:


samedi 8 novembre 2014

Mada (5): la Tsiribihina

Dans le fond, nos embarcations, deux pirogues. Tout le matos est transporté à bord, tout est très bien prévu et aménagé. C'est très simple, et aussi très confortable! J'vous jure!



Rencontres au fil de l'eau: des gens, des oiseaux, des caméléons...




 Belles pirogues à voiles (disposer d'une voile demande d'être ingénieux, car qui peut se permettre d'en acheter une?):


 La vie le long de la rivière:




Premier bivouac, avec douche s'il vous plaît!
(eau fraîche tombant en cascade, le luxe):


 C'est reparti!





Deuxième bivouac, plus sommaire, mais avec festin inclus (on avait transporté deux poules vivantes jusque là... elles étaient booonnes, les pauvres!)


L'équipe au grand complet:
- Carmen, Juan et nos trois piroguiers: debout,
- Nous, notre super guide Daddy: accroupis: