Il y a quelques temps, ma copine Fatima de Poroani m'avait fait comprendre (je parle aussi mal le shimaoré qu'elle, le français) qu'il fallait absolument que je vive de l'intérieur les préparatifs culinaires d'un mariage à la mahoraise. Et un samedi, elle est venue nous chercher, moi et mon appareil photo, et nous a amenés juste de l'autre côté de ma rue, où la cuisine "de bataille" était installée. J'ai eu le privilège de pouvoir photographier et même filmer les bouénis de mon quartier en pleine action, ce qui d'habitude... est plutôt mal vu! J'étais donc aux anges...
Et voici les lieux: une partie couverte pour les cuisinières; derrière, une partie à l'air libre où brûlent les différents feux de cuisson; et sur l'avant, une terrasse avec vue imprenable pour les créatrices de bijoux floraux (j'y reviendrai).
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire